Savez-vous combien de temps les affréteurs perdent chaque jour ? Analysez-le et transformez ce temps en profit.

Planification des itinéraires, publication d’offres de transport, saisie manuelle des données, suivi des cargaisons — c’est le quotidien des affréteurs. Le problème ? Toutes ces tâches sont encore réalisées manuellement. Résultat : un temps précieux, qui pourrait être consacré à gérer de nouvelles missions, s’évapore.

Selon une étude, un affréteur consacre en moyenne 2,5 heures par jour à des tâches répétitives et manuelles : noter les heures d’arrivée et de départ des camions, contacter les transporteurs ou encore saisir les informations des commandes. Sur un mois, cela représente plus de 50 heures de travail qui pourraient être automatisées.

Où s’échappe exactement ce temps ?

Parmi les tâches manuelles les plus chronophages, on retrouve : le suivi des camions (85 minutes par jour par affréteur), la saisie manuelle des données (28 minutes par jour)et la communication avec les transporteurs habituels (24 minutes par jour). Soit un total de 2 heures et 17 minutes par jour, dédiées uniquement à des tâches répétitives.

Au-delà de la perte de temps, ce fonctionnement augmente aussi le risque d’erreurs, génère une communication confuse et nuit à la transparence de l’ensemble du processus logistique.

Comment automatiser ce processus ?

Les résultats de l’étude ne surprennent pas vraiment. Dès le début du processus d’attribution des chargements, les affréteurs jonglent entre une multitude de canaux de communication — WhatsApp, e-mails, SMS, appels téléphoniques et bourses de fret — ce qui complique et allonge considérablement leur travail.

L’infographie ci-dessous illustre les différentes étapes de l’attribution des chargements et met clairement en évidence les moments où les affréteurs effectuent le plus grand nombre de tâches manuelles.

Quelles conclusions peut-on en tirer ?

• Manque d’automatisation : chaque étape exige l’intervention manuelle de l’affréteur.
• Perte de temps significative : une grande partie des échanges se fait individuellement, et de nombreuses actions sont répétées manuellement.
• Risque accru d’erreurs et d’inefficacité : la gestion manuelle et l’absence d’un système intégré rendent le processus vulnérable.

Les plateformes de collaboration avec les transporteurs offrent ici une véritable aide.

Dans la plupart des systèmes, les affréteurs disposent d’options limitées pour créer des flux d’attribution automatique des chargements. Dans le cadre de contrats, il est possible d’attribuer des chargements à un tarif fixe ou négociable. En dehors de ces cas précis, la seule alternative reste généralement le marché spot, souvent imprévisible et chronophage.

C’est précisément là que FreightON change la donne.

Grâce à l’intégration d’algorithmes performants, FreightON propose différentes options pour automatiser l’attribution des chargements, en s’adaptant aux spécificités de chaque entreprise.
L’automatisation suit des scénarios personnalisés, définis en fonction des besoins et des processus internes, garantissant un gain de temps, une meilleure fiabilité et une gestion optimisée des ressources.

L’ensemble du processus d’attribution des chargements dans le système FreightON est entièrement automatisé et repose sur des algorithmes intelligents — sans échange d’e-mails ni appels téléphoniques.

Une fois la demande de transport ajoutée par le client, le système envoie automatiquement l’offre aux transporteurs de confiance sélectionnés.
Si aucune réponse n’est reçue sous 30 minutes, FreightON élargit immédiatement la proposition à d’autres transporteurs partenaires.

Si l’offre reste sans réponse, celle-ci est publiée sur la Bourse Privée. Et en l’absence d’acceptation, elle est ensuite rendue accessible sur la bourse publique, touchant un réseau de plus de 25 000 transporteurs.

Tout ce processus se déroule sans intervention manuelle de l’affréteur : rapide, fluide et 100% digital.

Et qu’en est-il du suivi des livraisons ?

Le suivi des transports est un autre domaine extrêmement chronophage pour les affréteurs.
Saisie manuelle des heures, appels aux chauffeurs, manque de visibilité globale sur les livraisons — autant de problèmes qui compliquent leur quotidien.

Les systèmes modernes, comme FreightON, automatisent intégralement le suivi des statuts des commandes — que ce soit via la géolocalisation GPS ou les mises à jour effectuées directement par les transporteurs.

Résultat : les affréteurs n’ont plus besoin d’appeler ni de suivre manuellement chaque étape du transport. Ils n’interviennent qu’en cas d’alerte, lorsque le système signale un retard ou un incident.

Cette approche facilite considérablement la gestion de la ponctualité des livraisons (OTIF), tout en impliquant activement les transporteurs dans le suivi.

Optimiser la gestion des quais

Un autre facteur de perte de temps et d’efficacité : les arrivées imprévues de camions et les files d’attente devant les quais.

Pour les entreprises disposant d’entrepôts, ces problèmes peuvent être largement évités grâce à la mise en place d’un système de gestion des créneaux de livraison (par exemple : Dock Scheduler).

Même lorsque le transporteur fait appel à un sous-traitant, ses données peuvent facilement être intégrées dans le système. Ainsi, lors de l’arrivée sur site, toutes les informations sont à jour, ce qui permet un traitement fluide et sans surprise.

Combien d’heures perdues pouvez-vous récupérer ?

L’automatisation de la gestion des commandes, du suivi des livraisons et de la documentation offre à chaque affréteur l’opportunité de récupérer des dizaines d’heures par mois.
Moins d’erreurs, des règlements plus rapides, des relations solides avec les transporteurs et une capacité accrue à traiter plus de commandes — sans agrandir votre équipe.

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